Enfant hyper-actif : que faire ?
Hyper-actif. Le diagnostic couperet s’abat de plus en plus souvent sur l’enfant. Difficultés disciplinaires, refus d’aller dormir, impertinence, nervosité, angoisses nocturnes : tous les symptômes peuvent mener à ce diagnostic. Mais comment continuer son chemin d’enfant avec ce mot ? Quelques premières idées ici.
Enfant Hyper-Actif : Adultes Super-Épuisés ?
Déjà, retrouver le sens de ce terme devenu si courant dans le discours sur la santé mentale des enfants. Dire qu’un enfant est hyper-actif, c’est avant tout constaté que les adultes sont dépassés par quelque chose qui leur semble venir de l’enfant. Cela ne signifie pas qu’ils soient coupables. Mais que c’est aux yeux des adultes, dans leur univers de normes et de contraintes, que le jugement est formé. Il est nécessaire d’entendre avant tout en quoi ces symptômes sont une souffrance pour l’enfant lui-même. Parler de ce mot peut déjà, rapidement, ouvrir un espace de dialogue entre l’enfant et ses parents.
Enfant Hyper-Actif : que peut faire un psychologue ?
Le psychologue offre à la parole, aux idées et aux inquiétudes de l’enfant un espace de liberté. En déposant ses secrets, en délivrant aussi de l’agressivité par son discours, par le jeu et le dessin, l’enfant laisse dans le cabinet de son psy un peu de ce quelque chose qui, d’une manière pas toujours explicable, génère en lui ce besoin d’activité. Progressivement, l’enfant peut identifier dans le jeu, le dessin ou la parole des moyens plus efficaces pour exprimer son agressivité, et restreindre ainsi les désagréments du quotidien.
Enfant Hyper-Actif : parlons-en
L’école, les amis, les médecins, les autres parents : beaucoup d’intervenants sont souvent impliqués dans la route qui mène au diagnostic, sérieux ou non, d’hyper-activité. Les parents ont le droit de se poser des questions, et ont de quoi être désorientés. Le plus simple est parfois d’en parler à en psy, en toute clarté.
N’hésitez pas à contacter la Consultation Voltaire Psy Paris 11 au 01 85 09 37 88
